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SMILE de Parker Finn : la critique du film

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Spectateurs


Nom : Smile
Père : Parker Finn
Date de naissance : 2021
Majorité : 28 septembre 2022
Type : sortie en salles
Nationalité : USA
Taille : 1h55 / Poids : NC
Genre : Epouvante, Horreur

Livret de Famille :  Sosie BaconJessie T. UsherKyle Gallner

Signes particuliers : Efficace mais convenu et totalement oubliable. 

Synopsis : Après avoir été témoin d’un incident traumatisant impliquant l’une de ses patientes, la vie de la psychiatre Rose Cotter tourne au cauchemar. Terrassée par une force mystérieuse, Rose va devoir se confronter à son passé pour tenter de survivre…

 

RIGOLEZ PAS !

NOTRE AVIS SUR SMILE

A chaque paire de semaines, son petit film d’horreur qui pointe discrètement le bout de son nez en salles pour faire frissonner du teenagers. Avec une légère recrudescence en octobre, mois d’Halloween oblige. Énième film de « malédiction qui se transmet de victime en victime jusqu’à celle qui osera l’affronter face à face », Smile et sa créature au sourire terrifiant va tenter de tétaniser quelques spectateurs en abattant tous les codes du film d’épouvante actuel, du jump-scare aux visions « marquantes » en passant par un fond de mythologie fantomatique, l’empathie pour une victime impuissante ou le mélange thriller surnaturel & angoisse incarnée. Aux manettes, le néophyte Parker Finn, qui signe là son premier long-métrage après deux courts remarqués.

 

Smile tire sa principale qualité de ses nombreuses faiblesses, ou l’inverse on vous laisse le choix dans l’ordre des choses. Ses faiblesses sont à aller chercher dans son cruel manque d’épaisseur qui le propulse dans le panier des thrillers d’épouvante lambdas alignant les codes du genre telle une maîtresse d’école organisant sa cohorte d’enfants. Smile joue beaucoup (trop) avec le jump-scare au point que l’on peine à marcher dans ses effets de manche, son canevas est aussi basique que ses coutures sont peu solides et de fil en aiguille, aucune originalité ne vient animer cette broutille cinématographique génératrice de demi-frissons évanescents. D’autant que le modeste exercice de Parker Finn remue un schéma archétypal éculé par une longue lignée de films (bien meilleurs) tels que Ring, It follows, The Bye Bye Man, The Grudge, Sinister et on en passe. En somme, ces « épouvanteries » à base de malédiction qui se transmet provoquant des chaînes de victimes. Néanmoins, le tableau n’est pas complètement noir, du moins pas autant que l’on pourrait le croire à la lecture de ces défauts énumérés. La seule vraie qualité de Smile, c’est sa modestie. En ne s’embarrassant pas de détails et en cherchant pas à développer une quelconque mythologie poussivement expliquée, Smile en vient à se concentrer sur la pure efficacité du divertissement horrifique. Et au final, le film de se laisser regarder sans déplaisir. On sent le manque de consistance mais l’effort cale l’estomac sur l’instant, comme un concentré de junk food un lendemain de cuite. Quelques scènes bien orchestrées fonctionnent (la séance de psy du début, l’anniversaire du neveu) et l’ensemble est mollit pas, assurant le minimum syndical de ce que l’on était venu y chercher. Et Smile d’être loin du pire dans le panier à séries B horrifiques.

 

 

Par Nicolas Rieux

3 thoughts on “SMILE de Parker Finn : la critique du film

  1. Trop long trop lourd trop pleurnichard hyperjuive ( ce qu’elle ne revendiquait pas ) même si elle ne voulait pas oublié les camps au nomPlutôt de l humanité .
    Et pourquoi la faire aboyer aux divers parlements ou elle parlait d une voix ferme impressionnante mais pas tonitruante . En plus séquence déplacée des hurlements de l’opposition à l ivg ( le fond oui la forme non )Et répétée de ses crises de nuit notammentla seconde fois à la sortie d un théâtre.
    C aurait pu être plus léger plus fin plu court
    Mauvais film

  2. Le film en générale est très bien, parfois trop lent dans ses suspens, mais super flippant cest très bien réalisé.
    la fin me déçois un peu et laisse pensée une suite au film.

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