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LA NONNE : LA MALÉDICTION DE SAINTE LUCIE de Michael Chaves : la critique du film

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Spectateurs

 

Nom : The Nun II
Père : Michael Chaves
Date de naissance : 27 septembre 2023
Type : sortie en salles
Nationalité : USA
Taille : 1h49 / Poids : NC
Genre : Epouvante

Livret de Famille : Peter HudsonTaissa FarmigaJonas Bloquet

Signes particuliers : Parfait pour la sieste. 

Synopsis : Le mal n’a jamais été aussi proche : Valak, la nonne démoniaque de Conjuring revient… Dans le sud de la France.

Nous pendant la séance…

LA NULLE 2

NOTRE AVIS SUR LA NONNE 2

 L’univers de Conjuring continue d’être déroulé comme une vieille pelote de laine à grands coups de spin off et de suites de spin off. Comme les Annabelle et comme ici La Nonne, l’une des figures terrifiantes de la saga de James Wan. Passé un premier spin off horrifiquement médiocre, voici un second qui est encore pire. Fallait le faire. Réalisateur abonné à l’univers, lui qui a déjà signé les déplorables La Malédiction de la Dame Blanche et le dernier Conjuring 3, Michael Chaves emmène tout son petit bazar à… Tarascon. Non pas pour y croiser le célèbre Tartarin mais pour investir les murs d’un vieux couvent confronté à Valak, le super démon camouflé en nonne maléfique maquillée comme Marilyn Manson en fin de soirée.

La Nonne 2 devrait être remboursé par la sécurité sociale. Plutôt que d’envoyer des fatigués en cure thermale à la Bourboule pour 3000 balles, une séance de La Nonne 2 à 12 euros et vous voilà requinqué par la sieste XXL qui accompagne la purge atomique de Michael Chaves, dont le contenu se résume à une enfilade de scènes toutes plus chiantes les unes que les autres obéissant à un récit décousu. Question frissons horrifiques, c’est aussi terrifiant qu’un épisode des Télétubbies, les couleurs en moins puisque 80% du film est composé de séquences tellement sombres qu’on y voit que dalle. Franchement les gars, à un moment on peut économiser sur plein de trucs mais par pitié, pas le chef op. Sinon ça donne un quasi écran noir de 1h45 dont le climax du kiff est quand le générique de fin nous libère du vrai Mal. Un film inintéressant au possible qui n’a strictement rien d’un tant soi peu nouveau à offrir.

Par Nicolas Rieux

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