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PERMISSION de Brian Crano : la critique du film

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Carte d’identité :
Nom : Permission
Père : Brian Crano
Date de naissance : 2016
Majorité : 1er mars 2018
Type : Sortie e-cinema
Nationalité : USA
Taille : 1h36 / Poids : NC
Genre
: Comédie romantique

Livret de famille :  Rebecca Hall, Dan Stevens, Gina Gershon, François Arnaud, Jason Sudeikis, Morgan Spector…

Signes particuliers : Trop ennuyeux pour distraire.

UNE COMÉDIE ROMANTIQUE PAS COMME LES AUTRES ?

LA CRITIQUE DE PERMISSION

Résumé : Anna et Will se connaissent depuis toujours : premier baiser, premier amour… Après 10 ans de relation, l’heure est venue de s’engager mais lors d’un dîner bien arrosé le meilleur ami du couple leur suggère une idée farfelue : pourquoi ne pas s’autoriser une relation avec un nouveau partenaire avec le consentement de l’autre ? Ce qui semblait être un jeu entraine le couple dans une relation totalement libérée ! 

Une comédie romantique qui entend flirter un peu hors des balises qui encadrent habituellement le genre, avec le beau duo Rebecca Hall et Dan Stevens en vedette, Permission avait des arguments pour séduire le chaland à la recherche d’un peu de fraîcheur sur un terrain qui semble n’avoir plus grand-chose à offrir de nouveau depuis un moment. A plus forte raison aux Etats-Unis, le cinéma britannique parvenant encore à sauver l’honneur de temps à autre avec son style inimitable. Deuxième long-métrage du réalisateur Brian Crano après l’obscur A bag of Hammer (déjà avec Rebecca Hall), Permission pointe le bout de son nez directement en e-cinéma chez nous.

Malheureusement, loin des souhaits qui semblaient le porter, l’écran de fumée ne durera pas bien longtemps. Si certaines intentions étaient plutôt bonnes, notamment l’envie de faire quelque-chose d’un brin différent en s’échappant des codes gnangnan moralisateurs d’ordinaire agglutinés au genre, Permission ne réussit pas à exploiter correctement ses ambitions. Ennuyeux, incapable d’être drôle et vraiment piquant au-delà de sa posture, le film de Brian Crano se révèle vite d’une crétinerie abyssale, et la blague ne prend pas plus que la mayonnaise.

BANDE ANNONCE :

Par Nicolas Rieux

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