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JOHNNY ENGLISH CONTRE-ATTAQUE de David Kerr : la critique du film

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Carte d’identité :
Nom : Johnny English strikes again
Père : David Kerr
Date de naissance : 2018
Majorité : 10 octobre 2018
Type : Sortie en salles
Nationalité : Angleterre
Taille : 1h29 / Poids : NC
Genre
: Comédie

Livret de famille : Rowan Atkinson, Emma Thompson, Olga Kurylenko, Ben Miller…

Signes particuliers : Pas très moderne tout ça.

JOHNNY ENGLISH SORT DE SA POUSSIÈRE

LA CRITIQUE DE JOHNNY ENGLISH 3

Synopsis : Cette nouvelle aventure démarre lorsqu’une cyber-attaque révèle l’identité de tous les agents britanniques sous couverture. Johnny English devient alors le dernier espoir des services secrets. Rappelé de sa retraite, il plonge tête la première dans sa mission : découvrir qui est le génie du piratage qui se cache derrière ces attaques. Avec ses méthodes obsolètes Johnny English doit relever les défis de la technologie moderne pour assurer la réussite de sa mission. Avant, Rowan Atkinson c’était l’inénarrable Mr Bean, le célèbre gaffeur anglais qui déclenchait des rires par millions à travers le monde. Aujourd’hui, Rowan Atkinson c’est Johnny English 3, nouveau volet de la saga comique parodiant James Bond en suivant les aventures rocambolesques d’un espion britannique maladroit qui enchaîne bourde sur bourde. On n’ira pas jusqu’à parler de talent gâché mais quand même.Les deux premiers opus de Johnny English ne brillaient déjà pas par le niveau de leur humour, assez balourd pour ne pas dire poussif. Mais au début des années 2000, on pouvait éventuellement y retrouver un léger parfum de nostalgie en y voyant une sorte de Mr Bean version espion au service de sa majesté. Un petit paquet d’années plus tard, ce troisième volet ne vient pas relever le niveau, voire flirte avec la gêne. Si quelques gags éparpillés ça et là font sourire, l’ensemble est assez consternant, plombé par un comique très daté et une enfilade de gags désarmés par le fait qu’on les voit constamment venir à des kilomètres. Globalement, on ne passe pas un mauvais moment car on sent une vraie sincérité  dans la démarche du touchant Atkinson, mais elle ne suffit pas à sauver les meubles d’un film tout juste digne d’une sortie DTV.

BANDE-ANNONCE :

Par David Huxley

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