[Note spectateurs]
Carte d’identité :
Nom : Les nouvelles aventures de Cendrillon
Père : Lionel Steketee
Date de naissance : 2017
Majorité : 18 octobre 2017
Type : Sortie en salles
Nationalité : France
Taille : 1h20 / Poids : NC
Genre : Comédie
Livret de famille : Marilou Berry, Josiane Balasko, Arnaud Ducret, Didier Bourdon, Vincent Desagnat, Jérôme Commandeur…
Signes particuliers : Mon dieu……………….. Mais pourquoi ?
IL ÉTAIT UNE FOIS AU ROYAUME DE LA MÉDIOCRITÉ…
LA CRITIQUE DE LES NOUVELLES AVENTURES DE CENDRILLON
Résumé : C’est l’anniversaire de Julie mais elle semble être la seule à s’en souvenir… Jusqu’à ce que Marco, l’homme qu’elle aime secrètement, l’appelle et lui annonce qu’il va passer chez elle pour lui déposer son fils car la baby-sitter a eu un contretemps. Julie est effondrée, tout le monde la considère comme une boniche. Seule avec ce petit garçon, particulièrement odieux, Julie décide de lui raconter l’histoire de Cendrillon… enfin presque.
Après Aladin, c’est au tour de Cendrillon de passer à la moulinette de la relecture décalée. Scénarisé par le même escroc, les deux longs-métrages font parti d’un espèce d’univers étendu visant à retravailler les grands contes célèbres sous un angle moderno-décalé. Cette fois-ci, pas de Kev Adams au programme (dieu merci, c’est déjà ça), Les Nouvelles Aventures de Cendrillon propulse Marilou Berry sur le devant de la scène, entourée de sa mère Josiane Balasko, mais aussi d’Arnaud Ducret, Vincent Desagnat, Didier Bourdon ou encore Jérôme Commandeur. Une fine équipe censée donner vie à un délire capable de tout, pour le pire et pour le pire.
Car on ne va pas se mentir, il est inutile d’en faire des tartines pour expliquer à quel point le film de Lionel Steketee (coréalisateur de Case Départ et du Crocodile du Botswanga avec Fabrice Eboué) est une purge culminant à 10 sur l’échelle de la lourdeur et de la ringardise consternante. Visant clairement le même public qui s’était précipité pour reluquer Les Nouvelles Aventures d’Aladin avec Kev le décoiffé, cette relecture comico-djeun’s du conte populaire joue la même carte que son aîné, entre humour bien balourd, esprit absurde et gags anachroniques. Si l’on pourra être tenté d’esquisser 2-3 sourires au détour de quelques blagues qui fonctionnent, l’ensemble reste d’une bêtise affligeante, plâtrée avec la finesse d’un menu XL chez Flunch. Après le MCU de Marvel et le DCU de son concurrent DC Comics, la comédie française tente d’imposer le GCU, traduction de « Grotesque Cimenatic Universe ». Ce n’est que le début, et l’on en peut déjà plus de voir notre enfance ruinée par ce genre d’âneries pour encéphalogrammes plats. Par pitié, un peu de dignité que diable !
BANDE-ANNONCE :
Par David Huxley
film le plus affligeant que j’ai vue !!!!!!!!!!!!
j’ai adorée voir ce conte dépoussiéré……enfin une jeune fille qui se bat a la kill bill et qui n’attends bouche beé son prince charmant oufff
le coté féministe des balasko-berry est génial
les acteurs sont de formidables interpretes bourdon desagnat ducret et surtout cette marraine-gay ahurissant andy cocq …..
le film ete trop bien
le film ete trop bien
le film ete trop bien
Gros navet A deconseiller.Comment Josiane Balasko et mary lou Berry peuvent avoir accepter un scénario pareil(pour arrondir leur fin de mois ,pauvres connes)
oui pauvres connes !!!!!!!!
ça n’empêche pas la politesse
Bonjour, de la à les traiter de pauvres connes que de violence pour si peu ! Surtout que pauvre vous l’êtes peut être sûrement plus qu’elles et pour « connes » rien que le fait les nommer ainsi gratuitement vous fait entrer dans le même cadre !
t’es qui toi pour te permettre ce genre de commentaire ??????????
Trop déçu d’avoir payé si cher pour un navet pareil. Quel honte !