Nom : Wolf Man
Père : Leigh Whannell
Date de naissance : 15 janvier 2025
Type : sortie en salles
Nationalité : USA
Taille : 1h42 / Poids : NC
Genre : Horreur
Livret de Famille : Christopher Abbott, Julia Garner, Matilda Firth…
Signes particuliers : Efficace, oui. Sans surprise, aussi.
Synopsis : Et si l’être que vous aimez se transformait en une créature à peine reconnaissable ? Père de famille vivant à San Francisco, Blake hérite de sa maison d’enfance, une vieille ferme située au fin fond de l’Oregon, lorsque son père disparaît et qu’il est considéré comme mort par les autorités. Alors que son couple bat de l’aile, Blake convainc sa femme Charlotte de changer d’air et d’aller vivre dans sa maison de l’Oregon avec leur petite fille Ginger. Mais lorsque Blake, Charlotte et leur fille arrivent près de la ferme, ils sont attaqués, en pleine nuit, par un animal invisible : tentant de prendre la fuite, ils se barricadent à l’intérieur de la maison pour se protéger contre la bête qui rôde, aux aguets. Mais au fil de la nuit, Blake commence à se métamorphoser en une créature méconnaissable…
PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS
NOTRE AVIS SUR WOLF MAN
Il y a deux types de films qui sortent des usines Blumhouse Productions. D’un côté, les petits thrillers de pseudo-épouvante qui ne font frémir que les très jeunes ados en mal de frissons pré-pubères (Imaginary, L’IA du Mal, Five Night at Freddy’s, M3GAN et toutes ces conneries sans intérêt) et les films d’horreur plus plus, traduction qui ont des ambitions horrifiques un peu plus élevées répondant aux envies d’un public plus averti. Comme Speak No Evil récemment par exemple. Ou comme ce Wolf Man signé du besogneux mais inégal Leigh Whannell (scénariste des premiers Saw et Insidious, réalisateur de Upgrade ou du très bon Invisible Man). Avec Wolf Man, le fidèle sergent de l’écurie Jason Blum reprend à son compte la mythologie du loup-garou, toujours périlleuse quand il s’agit de la porter à l’écran. C’est que mine de rien, si quelques films ont su s’en sortir avec les honneurs (au hasard Teddy ou Ginger Snaps), on n’a jamais vraiment fait mieux que l’inoubliable Loup-Garou de Londres… et c’était il y a 43 ans.
Par Nicolas Rieux