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16 LEVERS DE SOLEIL de Pierre-Emmanuel Le Goff : la critique du film

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Carte d’identité :
Nom : 16 Levers de Soleil
Père : Pierre-Emmanuel Le Goff
Date de naissance : 2017
Majorité : 03 octobre 2018
Type : Sortie en salles
Nationalité : France
Taille : 1h58 / Poids : NC
Genre
: Documentaire

Livret de Famille : Thomas Pesquet…

Signes particuliers : Beau mais si ennuyeux.

DANS L’ESPACE AVEC THOMAS PESQUET

LA CRITIQUE DE 16 LEVERS DE SOLEIL

Résumé : S’envoler pour l’espace. C’est ce rêve que Thomas Pesquet a réalisé en décollant depuis la base de Baïkonour. A 450 kilomètres de la Terre, durant ces six mois où le monde semble basculer dans l’inconnu, un dialogue se tisse entre l’astronaute et l’œuvre visionnaire de Saint Exupéry qu’il a emportée dans la station spatiale.

On aura beaucoup entendu parler dans les médias des exploits de la nouvelle coqueluche de la France Thomas Pesquet, l’astronaute tricolore qui a passé six mois sur la station spatiale internationale. Sa mission en apesanteur loin de la Terre a déjà amené deux documentaires sortis en Blu-ray il y a quelques mois : L’Étoffe d’un Héros (en référence au classique de Philip Kaufman) puis L’Envoyé Spatial. Mais cette fois-ci, ce sont les salles obscures que Pesquet s’apprête à investir avec 16 Levers de Soleil, nouveau documentaire dirigé cette fois par Pierre-Emmanuel Le Goff et qui retrace (encore) le périple de Pesquet en mettant en écho son aventure et l’œuvre visionnaire de Saint-Exupéry qu’il avait amené avec lui à bord.

Pensé dans l’onirisme et la poésie, 16 levers de Soleil observe l’extraordinaire aventure spatiale de Thomas Pesquet sous un nouveau jour, moins trépidant et illustratif et davantage tournée vers la beauté stupéfiante et le métaphysique. Problème, on a déjà vu beaucoup de choses à travers les deux documentaires précédents et 16 Levers de Soleil semble faire un peu dans la redite, mais avec juste beaucoup plus d’ennui pour entourer un effort ultra-contemplatif à la narration laborieuse. Quelques scènes de vie suscitent l’intérêt, quelques images fascinent de beauté, mais globalement ce troisième opus de la saga Pesquet n’est clairement pas le plus passionnant en plus d’être interminable.

BANDE-ANNONCE :

Par David Huxley

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