SI J’ÉTAIS UNE FEMME d’Audrey Dana : la critique du film

Carte d’identité :
Nom : Si J’étais un Homme
Mère : Audrey Dana
Date de naissance : 2017
Majorité : 05 juillet 2017
Type : Sortie Blu-ray/DVD
Nationalité : France
Taille : 1h39 / Poids : NC
Genre : Comédie

Livret de famille : Audrey Dana, Christian Clavier, Eric Elmosnino, Alice Belaïdi, Anthony Gouy…

Signes particuliers : Une comédie décevante.

AUDREY DANA A UN GROS PAQUET…. D’EMMERDES.

LA CRITIQUE DE SI J’ÉTAIS UN HOMME

Résumé : Qui n’a jamais imaginé ce que ça ferait d’être dans la peau du sexe opposé, ne serait-ce qu’une journée ? Eh bien, pas Jeanne ! Fraichement divorcée, séparée de ses enfants une semaine sur deux, pour elle les mecs c’est fini, elle ne veut plus jamais en entendre parler. Mais un beau matin, sa vie s’apprête à prendre un drôle de tournant, à première vue rien n’a changé chez elle… à un détail près ! De situations cocasses en fous rires avec sa meilleure amie, de panique en remise en question avec son gynéco, notre héroïne, tentera tant bien que mal de traverser cette situation pour le moins… inédite.

Une mère de famille récemment plaquée se réveille un beau matin « avec une bite ». Passée la réflexion mesquine mais réaliste « Ah carrément, on en est là maintenant…« , on pouvait se dire que Si J’étais un Homme et son pitch aussi délirant que franchement débile, avait moyen d’être une comédie populaire, drôle et généreuse en blagues faciles mais bassement efficaces. D’autant qu’Audrey Dana a du talent, ce qui aurait pu pimenter un peu, cette folie ubuesque et décalée, offrant aux femmes ce dont elles toujours rêvé de tester un jour, l’espace d’une journée. Malheureusement, non pas que l’actrice-réalisatrice exploite mal son postulat ou passe à côté de la bêtise assumée de son affaire, mais Si J’étais un Homme n’est tout simplement pas assez drôle pour convaincre, faute d’imagination pour se dénicher des gags vraiment hilarants qui lui permettrait de tenir sur la longueur, passé la présentation de son concept cocasse. L’ensemble de la distribution met pourtant beaucoup de cœur à l’ouvrage, mais le résultat manque sérieusement de repartie.

BANDE-ANNONCE :

Par Nicolas Rieux