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PADDINGTON AU PÉROU de Dougal Wilson : la critique du film

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Nom : Paddington in Peru
Père : Dougal Wilson
Date de naissance : 05 février 2025
Type : sortie en salles
Nationalité : Angleterre, France
Taille : 1h46 / Poids : NC
Genre : Comédie, Aventure, Familial

Livret de Famille : Guillaume Gallienne, Hugh Bonneville, Olivia Colman, Antonio Banderas, Emily Mortimer…

Signes particuliers : Le charme de Paddington opère encore.

Synopsis : Alors que Paddington rend visite à sa tante Lucy bien-aimée, qui réside désormais à la Maison des ours retraités au Pérou, la famille Brown et notre ours préféré plongent dans un voyage inattendu et plein de mystères, à travers la forêt amazonienne et jusqu’aux sommets des montagnes du Machu Picchu.

L’OURS BIEN LÉCHÉ PART EN VOYAGE

NOTRE AVIS SUR PADDINGTON AU PÉROU

Et de trois pour Paddington au cinéma. Après avoir débarqué à Londres dans le premier, après avoir affronté Hugh Grant dans le deuxième, l’ours friand de marmelade d’orange s’envole cette fois pour un grand voyage en direction de son Pérou natal, en compagnie de la famille Brown. Lui va rendre visite à sa bien -aimée tante Lucy, les Brown imaginent des vacances parfaites pour la famille, mais le programme va vite dérailler en aventure folle au cœur de la jungle amazonienne !

Quel est le point commun entre La Chèvre, Indiana Jones, Le Gendarme de Saint-Tropez, Buster Keaton et Fitzcarraldo ? C’est Paddington 3 qui, à des degrés divers et variés, en appelle à mix de tout ça entre la quête d’une personne disparue dans la jungle, une chasse au trésor, une nonne déjantée qui pilote comme une folle etc. Et au milieu de ce joyeux méli-mélo, toujours ce même plaisir à retrouver l’ours Paddington dont le grand cœur n’a d’égale que sa propension à enchaîner les catastrophes. Plutôt plaisant et bon rieur, ce troisième volet paraît en-dessous des précédents en raison d’une fraîcheur qui s’use logiquement, mais aussi d’effets spéciaux moins réussis, d’un côté « studio » très visible, d’une écriture plus mécanique et moins riche en émotions, mais l’entrain est toujours là, les péripéties endiablées aussi, et l’on savourera sans modération l’excellent numéro d’un Antonio Banderas des grands soirs et la voix réconfortante de Guillaume Gallienne (en VF). Sympathique.

 

 

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