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HERCULE ET SHERLOCK (critique)

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Carte d’identité :
Nom : Hercule et Sherlock
Parents : Jeannot Swarcz
Livret de famille : Christophe Lambert (Vincent), Richard Anconina (Bruno), Roland Blanche (Antoine Morand), Philippine Leroy-Beaulieu (Marie), Béatrice Agenin (Nicole Morand)…
Date de naissance : 1996
Nationalité : France
Taille/Poids : 1h32 – 9 millions €

Signes particuliers (+) : Aucun.

Signes particuliers (-) : Le film est à lui seul un signe particulier négatif. Peut-être l’un des plus nuls jamais fait en France.

 

NOM D’UN CHIEN !

Résumé : Un caïd spécialisé dans le trafic de fausse monnaie, demande à deux de ses hommes de kidnapper des chiens renifleurs de billets pour retrouver son argent saisi par la police…

Aujourd’hui réalisateur spécialisé dans la mise en scène d’épisodes de séries télé (Grey’s Anatomy, Bones, Fringe, Cold Case, Smallville, Heroes…), le français Jeannot Swarzc, auteur des Dents de la Mer 2 ou de Supergirl aimerait certainement oublié (ou alors, il est très con) le trio de comédie qu’il aura signé de sa main dans les années 90 avec La Vengeance d’une Blonde, Les Sœurs Soleil et ce Hercule et Sherlock, certainement le degré zéro absolu de la comédie à la française.

Produit et emballé comme une fiction TF1, cette comédie où viennent cabotiner comme jamais Richard Anconina et Christophe Lambert est d’une indigence telle qu’il en devient difficile d’en parler tant il n’y a pas grand-chose à dire sur l’ampleur du désastre. Pas drôle, dénué de tout gag digne de ce nom et ne sombrant pas dans le ridicule navrant, Hercule et Sherlock met aux prises deux petits truands maladroits avec deux clébards de merde dans des aventures qui donneraient presque envie de se pendre avec le cordon d’alimentation de son téléviseur ou de se laver les yeux avec du Tarkovski (c’est dire !). Comble de la nullité affligeante, on est presque sans cesse gêné pour toutes les personnes s’étant compromise sur l’affaire, probablement en ayant conscience qu’ils étaient en train de fabriquer la plus purge du cinéma français des dernières années. Rien, mais strictement rien, ne sauve le film de Swarcz et l’empêche de sombre dans un ridicule hors du commun. Poussif, sans idées, Hercule et Sherlock est simplement grotesque, ni fait ni à faire. Plus de 9 millions dépensés vraiment pour rien. Un horrible moment laborieux en perspective qui laisse l’impression d’avoir vraiment perdu deux heures de sa vie e qui pardessus le marché, essaie de retrouver le ton des comédies d’antan. Comment dire…

Bande-annonce :

One thought on “HERCULE ET SHERLOCK (critique)

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