Mondo-mètre :
Carte d’identité :
Nom : Funny People
Père : Judd Apatow
Livret de famille : Adam Sandler (George Simmons), Seth Rogen (Ira Wright), Leslie Mann (Laura), Eric Bana (Clarke), Jonah Hill (Leo), Jason Schwartzman (M. Jackson), RZA (Chuck), Aubrey Plaza (Daisy)…
Date de naissance : 2008
Nationalité : États-Unis
Taille/Poids : 2h25 ou 2h33 – 75 millions $
Signes particuliers (+) : Supérieur aux autre films d’Apatow par son mélange équilibré et intéressant entre la comédie potache et le drame touchant.
Signes particuliers (-) : Encore et toujours cet humour « à la Apatow » gras et redondant, qui étouffe le film. Trop long aussi.
JUDD, APPÂTE NOUS…
Résumé : Un petit comique de stand-up croise la route par hasard d’une star de cinéma qui vient d’apprendre qu’il est atteint d’une tumeur dont les chances de rémission sont minces. Il va le prendre sous son aile et devenir son mentor…
– Essaie Funny People…
– Non mais Judd Apatow, j’aime pas. Forgetting Sarah Marshall, j’avais trouvé ça pas bon et inutile.
– Ouais mais tu verras, Funny People, c’est vachement mieux !
Bien… Funny People, c’est fait ! Et franchement…. Oui, c’est vrai, c’est mieux.
Bien que je reste farouchement opposé à la théorie récurrente de nombre de critiques de cinéma selon laquelle Judd Apatow incarnerait le renouveau de la comédie américaine, je dois reconnaître à la vision de ce Funny People, un style différent. Si pour moi, le renouveau de la comédie ricaine passe plus par les mecs de Very Bad Trip et Date Limite, il était quand même nécessaire de se pencher sur le reste de la filmo de Judd Apatow tant le culte voué au bonhomme semble grandir d’année en année.
Autant Forgetting Sarah Marshall m’avait paru comme une énième comédie pas très drôle et surtout sans rien de franchement exceptionnel ou novateur, une comédie basique cherchant vainement à ne pas être insipide en somme et qui ne cassait pas quatre pattes à un canard, autant il en est tout autre pour ce Funny People. Développant sa comédie au pied d’une histoire dramatique, Apatow fait évoluer les deux conjointement, l’une se nourrissant de l’autre et vice versa.
Drôle, touchant, sensible, Funny People est étonnant en cela que le mariage « comédie » et « dramatique » est parfaitement équilibré sans jamais trop tomber dans l’excès de l’un ou de l’autre. Si l’on a du mal à percevoir vers où le film se dirige durant les 20-30 premières minutes, tout s’éclaircit très vite. Et finalement, pour un mec faisant de la comédie, on en vient presque à se demander si Apatow n’est pas meilleur dans les scènes de drame. Tout comme Adam Sandler au passage qui, acteur comique par excellence, se révèle meilleur dans les scènes dramatiques.
Mais même avec Funny People, Apatow n’est toujours pas pour moi le « renouveau de la comédie américaine ». En revanche, il remonte grandement dans mon estime en montrant qu’il n’est pas si mauvais en fait, bien au contraire. Funny People est une réussite et au final, j’aurai un seul reproche à lui faire… Ses blagues. Si certaines scènes sont hilarantes (chez le docteur au look suédois), Apatow se montre presque plus malin dans les scènes loufoques et décalées que dans l’humour direct. Car avec 70% des vannes tournant autour de « bite », « cul », « boules »… l’humour potache est vite lourd et lassant et colle mal avec le ton général de l’ensemble. Dommage, car il y a fort à parier que ces vulgarités n’étaient pas franchement nécessaires au scénario.
Mais Funny People reste à voir comme un bel exercice. Si ce n’est pour l’humour, alors pour le drame et son récit initiatique beau et sensible.
Bande-annonce :
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