Mondo-mètre
Carte d’identité :
Nom : Horrible Bosses 2
Pères : Sean Anders
Date de naissance : 2014
Majorité : 24 décembre 2014
Type : Sortie en salles
Nationalité : USA
Taille : 1h48 / Poids : NC
Genre : Comédie
Livret de famille : Jason Bateman (Nick), Charlie Day (Dale), Jason Sudeikis (Kurt), Jennifer Aniston (Julia), Jamie Foxx (Dean), Chris Pine (Rex), Christoph Waltz (Bert), Kevin Spacey (Dave)…
Signes particuliers : La brochette de pieds nickelés de la comédie à succès de 2011 est de retour pour de nouvelles mésaventures.
ILS SONT REVENUS LES MALADES !
LA CRITIQUE
Résumé : Lassés de devoir se plier aux consignes de leurs supérieurs, Nick, Dale et Kurt décident de monter leur entreprise pour ne plus avoir de patrons. Mais un investisseur habile les prive soudain de capital. Sans ressources, ni recours juridique, nos trois apprentis entrepreneurs mettent au point un plan foireux, consistant à kidnapper le fils – adulte – de l’investisseur et à exiger une rançon afin de pouvoir reprendre le contrôle de leur entreprise… L’INTRO :
Le succès presque inattendu il y a trois ans de la comédie politiquement incorrecte Comment J’ai Tué mon Boss ne pouvait qu’inspirer une suite sur les aventures de sa brochette de pieds nickelés aux prises avec leurs patrons esclavagistes respectifs. Comment J’ai Tué Mon Boss 2 réunit à nouveau le gang Nick, Kurt et Dale (soit Jason Bateman/Jason Sudeikis/Charlie Day) pour une nouvelle joyeuserie débridée où les comparses vont tenter de monter leur propre business afin de devenir leurs propres patrons, et ainsi échapper aux griffes de boss insupportables et tyranniques. Comme son aîné, ce sequel se paye une fois de plus un sacré casting riche en seconds rôles, certains ayant déjà été du premier (Jamie Foxx, Jenifer Aniston, Kevin Spacey) et d’autres rejoignant la farce drolatique (Chris Pine, Christoph Waltz). Derrière la caméra, Seth Gordon cède la main à Sean Anders, bien connu de la maison Warner pour avoir rédigé le scénario de l’excellent Les Miller, mais surtout spécialiste de la comédie, derrière le script de la suite de Dumb et Dumber et réalisateur de Crazy Dad ou Sex Drive.L’AVIS :
On redoute souvent les suites aux comédies à succès, généralement à juste tire. Comment J’ai Tué Mon Boss 2 ne déroge pas à la règle et s’inscrit un cran en-dessous de son prédécesseur, effet de surprise en moins oblige. Néanmoins, quelques gags, situations ou répliques drôles ponctueront cette petite déception abonnée à l’intermittence du rire. Les fans du premier devraient toutefois retrouver les ingrédients qui les avaient séduits à l’époque, même si l’on n’atteint pas des sommets comiques ou la régularité tordante de l’évoqué Les Miller, par exemple. Comment J’ai Tué mon Boss 2 se cantonne au registre du sympathique distrayant mais pèche par sa lourdeur, son principal défaut étant d’en faire souvent trop à chaque fois qu’il tient un gag efficace, au point de finir par saouler gentiment. Une suite amusante et ludique mais bien trop poussive pour convaincre pleinement.
BANDE-ANNONCE :
Par Nicolas Rieux
COMMENT J’AI TUÉ MON BOSS 2 de Sean Anders – Critique – Sortie Ciné
Mondo-mètre
Carte d’identité :
Nom : Horrible Bosses 2
Pères : Sean Anders
Date de naissance : 2014
Majorité : 24 décembre 2014
Type : Sortie en salles
Nationalité : USA
Taille : 1h48 / Poids : NC
Genre : Comédie
Livret de famille : Jason Bateman (Nick), Charlie Day (Dale), Jason Sudeikis (Kurt), Jennifer Aniston (Julia), Jamie Foxx (Dean), Chris Pine (Rex), Christoph Waltz (Bert), Kevin Spacey (Dave)…
Signes particuliers : La brochette de pieds nickelés de la comédie à succès de 2011 est de retour pour de nouvelles mésaventures.
ILS SONT REVENUS LES MALADES !
LA CRITIQUE
Résumé : Lassés de devoir se plier aux consignes de leurs supérieurs, Nick, Dale et Kurt décident de monter leur entreprise pour ne plus avoir de patrons. Mais un investisseur habile les prive soudain de capital. Sans ressources, ni recours juridique, nos trois apprentis entrepreneurs mettent au point un plan foireux, consistant à kidnapper le fils – adulte – de l’investisseur et à exiger une rançon afin de pouvoir reprendre le contrôle de leur entreprise… L’INTRO :
Le succès presque inattendu il y a trois ans de la comédie politiquement incorrecte Comment J’ai Tué mon Boss ne pouvait qu’inspirer une suite sur les aventures de sa brochette de pieds nickelés aux prises avec leurs patrons esclavagistes respectifs. Comment J’ai Tué Mon Boss 2 réunit à nouveau le gang Nick, Kurt et Dale (soit Jason Bateman/Jason Sudeikis/Charlie Day) pour une nouvelle joyeuserie débridée où les comparses vont tenter de monter leur propre business afin de devenir leurs propres patrons, et ainsi échapper aux griffes de boss insupportables et tyranniques. Comme son aîné, ce sequel se paye une fois de plus un sacré casting riche en seconds rôles, certains ayant déjà été du premier (Jamie Foxx, Jenifer Aniston, Kevin Spacey) et d’autres rejoignant la farce drolatique (Chris Pine, Christoph Waltz). Derrière la caméra, Seth Gordon cède la main à Sean Anders, bien connu de la maison Warner pour avoir rédigé le scénario de l’excellent Les Miller, mais surtout spécialiste de la comédie, derrière le script de la suite de Dumb et Dumber et réalisateur de Crazy Dad ou Sex Drive.L’AVIS :
On redoute souvent les suites aux comédies à succès, généralement à juste tire. Comment J’ai Tué Mon Boss 2 ne déroge pas à la règle et s’inscrit un cran en-dessous de son prédécesseur, effet de surprise en moins oblige. Néanmoins, quelques gags, situations ou répliques drôles ponctueront cette petite déception abonnée à l’intermittence du rire. Les fans du premier devraient toutefois retrouver les ingrédients qui les avaient séduits à l’époque, même si l’on n’atteint pas des sommets comiques ou la régularité tordante de l’évoqué Les Miller, par exemple. Comment J’ai Tué mon Boss 2 se cantonne au registre du sympathique distrayant mais pèche par sa lourdeur, son principal défaut étant d’en faire souvent trop à chaque fois qu’il tient un gag efficace, au point de finir par saouler gentiment. Une suite amusante et ludique mais bien trop poussive pour convaincre pleinement.
BANDE-ANNONCE :
Par Nicolas Rieux