Sur le papier comme en images, The Inflicted de Matthan Harris n’a pas l’air transcendant, simple thriller horrifique bis au canevas assez éculé pour ne pas dire simplet. Sauf que le casting attire le regard, parsemé de tronches du cinéma de genre que l’on aime bien. L’icône de l’horreur indie américaine Bill Moseley (The Devil’s Rejects), le culte Sid Haig (House of 1000 Corpses, The Devil’s Rejects), Doug Bradley (Pinhead de Hellraiser) et Giovanni Lombardo Radice (Frayeurs de Lucio Fulci).
Du beau monde pour mettre en boîte une histoire de tueur psychopathe marchant sur les traces de son paternel. En 1992, à 6 ans, le jeune David O’Hara voit son père assassiner sa grande soeur. Quelques années plus tard, c’est sa mère que David perd alors qu’elle accouchait d’une nouvelle fille. Adulte, David est devenu à son tour un meurtrier sadique. Il kidnappe de jeunes femmes, qu’il viole et assassine…
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