[Note spectateurs]
Carte d’identité :
Nom : Orpheline
Père : Arnaud des Pallières
Date de naissance : 2016
Majorité : 06 septembre 2017
Type : Sortie Blu-ray/DVD
Nationalité : France
Taille : 1h51 / Poids : NC
Genre : Drame
Livret de famille : Adèle Haenel, Adèle Exarchopoulos, Solène Rigot, Jalil Lespert, Gemma Arterton, Nicolas Duvauchelle, Sergi Lopez…
Signes particuliers : Une grosse distribution pour pas grand-chose.
UNE VIE DE DRAME
LA CRITIQUE DE ORPHELINE
Résumé : Portrait d’une femme à quatre âges de sa vie. Petite fille de la campagne, prise dans une tragique partie de cache-cache. Adolescente ballottée de fugue en fugue, d’homme en homme, puisque tout vaut mieux que le triste foyer familial. Jeune provinciale qui monte à Paris et frôle la catastrophe. Femme accomplie enfin, qui se croyait à l’abri de son passé. Quatre actrices différentes incarnent une seule et même héroïne.
Quatre ans après le fort ennuyeux Michael Kohlhaas avec Mads Mikkelsen, le réalisateur Arnaud des Pallières refait surface avec son cinquième long-métrage, un drame quasi-choral réunissant les deux Adèle du cinéma français (Haenel et Exarchopoulos) et Solène Rigot, têtes d’affiche d’une épopée dramatique à quatre temps. Une belle distribution agrémentée de seconds rôles ronflants (Jalil Lespert, Gemma Arterton, Nicolas Duvauchelle, Sergi Lopez), censée donner corps et âme à un film tournant autour de l’histoire d’une femme à différents âges de sa vie. Elle fut une petite fille de la campagne marquée par une tragédie, une adolescente battue, une jeune adulte perdue, avant de devenir une femme accomplie rattrapée par son passé. Quatre époques pour un portrait rempli de fatalisme.
Avec sa construction alambiquée pour masquer la vacuité de son histoire misérabiliste au sein de laquelle Adèle Haenel fait du Adèle Haenel, et même chose pour sa comparse Exarchopoulos, Orpheline est une déception dont le formalisme ne parvient pas à faire oublier le fait qu’il n’ait pas grand chose à raconter. Son dispositif artificiel avec cette narration fragmentée reconstruisant pièce par pièce, le puzzle d’une vie tragique, n’arrange pas le cas de cet édifice dramatique qui résonne creux, en outre incapable de répondre à toute tentative d’accroche émotionnelle envers les personnages. Ou plutôt envers le personnage devrait-on dire, celui de cette fragile figure féminine dont on reste sans cesse passif malgré l’enchaînement des épisodes de son existence traumatique. Affublé d’un manque d’humilité sacrément malvenu, Orpheline est symptomatique de ce genre d’exercice poseur qui tente de se rendre plus intelligent qu’il ne l’est en réalité.
BANDE-ANNONCE :
Par Nicolas Rieux
Ah! mon deuxième patient après le foot -bal ,le cinéma me fait planer et vivre une bonne Émotion ;malgré quelques petite faute de métrage ou de montage ou même stresse au niveau accélération du mode de filme …et par fois je compare l’Histoire du filme par l’événement vécu ou ce que en va vivre :prévision comme par exemple et comme je dit a la fin de la majorité de mes paragraphes,Est ce que vous lisez l’avenir ?!.