[Note des spectateurs]
Carte d’identité :
Nom : Instant Family
Père : Sean Anders
Date de naissance : 2018
Majorité : 27 février 2019
Type : Sortie en salles
Nationalité : USA
Taille : 1h57 / Poids : NC
Genre : Comédie
Livret de famille : Mark Wahlberg, Rose Byrne, Isabela Moner, Octavia Spencer, Gustavo Quiroz, Julianna Gamiz, Margo Martindale…
Signes particuliers : Une comédie pétillante portée par un vrai sujet.
ÊTRE PARENTS, C’EST PAS SI SIMPLE !
LA CRITIQUE DE APPRENTIS PARENTS
Synopsis : Pete et Ellie veulent devenir une famille. En adoptant 3 frères et sœurs, dont une adolescente rebelle de 15 ans Pete et Ellie réalisent très vite qu’ils n’étaient pas préparés à devenir parents du jour au lendemain ! Leur parentalité « instantanée » va les placer dans des situations inattendues, émouvantes et souvent hilarantes !Avec Rose Byrne et Mark Wahlberg en têtes d’affiche, Apprentis Parents ressort du placard l’éternel ressort comique du couple pas prêt à devenir parents et qui va découvrir que le bonheur immédiat est un arbre cachant une forêt d’emmerdes à vous dégouter des gosses. Sauf que la nouvelle comédie du faiseur Sean Anders (Very Bad Dad 1 et 2, Comment Tuer son Boss 2) exploite le postulat dans un film évoquant surtout la question de l’adoption et de ces milliers d’enfants qui peuplent les foyers américains sans aucun espoir de trouver un jour une famille car jugés trop « vieux », trop « racailles », trop « compliqués » ou tout simplement trop Black ou trop Latino…Dans le flot annuel des comédies américaines fonctionnelles, Apprentis Parents a le mérite d’avoir un sujet fort et de s’y intéresser vraiment plutôt que de s’en servir comme une lointaine excuse prétexte à des gags éculés. L’approche donne d’ailleurs lieu à quelques moments assez émouvants et à un ton capable de passer en un battement de plan, du rire clownesque au drame sérieux. C’est sans aucun doute cet argument que l’on préférera retenir d’un film pour le reste assez oubliable, mais qui sur l’instant parvient à faire passer un bon moment malgré de grosses facilités d’écriture, une mise en scène un peu terne, et des longueurs qui font quelques dégâts sur le rythme général.
BANDE-ANNONCE :
Par Nicolas Rieux