Cela ne vous aura peut-être pas échappé mais Tom Cruise est un sacré sportif dans ses films. Il suffit de voir la saga Mission Impossible pour s’en convaincre. Et vas-y que je grimpe en haut d’un immense gratte-ciel (Mission Impossible 4), que je me suspends à flanc de montagne (Mission Impossible 2), que je m’accroche à un Boeing en plein décollage (Mission Impossible 5), que je fais des sauts de malade à moto (Mission Impossible 7), que je fais des cascades de dingues comme des sauts dans le vide (Mission Impossible 6). Sans parler des longues minutes en apnée dans l’épisode 5, de sa longue scène suspendu à un fil dans le premier ou du pilotage d’hélico dans le 6. Mais à une échelle moins spectaculaire, Tom Cruise est aussi un… coureur. Pas de jupons, un coureur qui court.
Quand on survole sa filmographie, il s’avère que dans une immense majorité de ses films, Tom Cruise a toujours une scène ou deux scènes où il court. A se demander si ce ne serait pas une clause obligatoire de ses contrats ! Pour preuve ce montage illustratif réalisé il y a quelques années et compilant des scènes où Cruise cavale comme un dératé…
En fait, Tom Cruise qui court, c’est comme une marque de fabrique, un geste signature. Comme Brad Pitt qui bouffe par exemple (véridique, il mange tout le temps dans ses films : la preuve en vidéo ici). A tel point que sa mini-biographie sur son compte officiel Twitter s’en amuse puisqu’elle indique : « Acteur. producteur. Court dans les films depuis 1981« . Véridique.
Pour l’anecdote amusante donnant un peu d’intérêt à cette info totalement anecdotique, une petite étude marketing réalisée en 2017 avait montré qu’en moyenne, quand Tom Cruise court dans un film, celui-ci rapportait considérablement plus d’argent que quand il ne courait pas. On avançait alors le chiffre d’environ 175 millions de dollars de recettes supplémentaires pour le film où il se tape des sprints, chiffre qui a du augmenter compte tenu de la filmo récente de l’acteur. Bon, on ne va pas se mentir, une raison explique partiellement cela. Les blockbusters d’action de l’ami Tom (où il a toujours des raisons de courir par logique) sont bien plus vendeurs côté box office.