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RÉSISTANCE de Sergey Mokritskiy : la critique du film

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resistance_2015Mondo-mètre
note 2 -5
Carte d’identité :
Nom : Bitva za Sevastopol
Père : Sergey Mokritskiy
Date de naissance : 2015
Majorité : 18 janvier 2016
(Editeur : Seven 7)
Type : Sortie vidéo
Nationalité : Russe
Taille : 2h00 / Poids : NC
Genre : Guerre

Livret de famille : Yuliya Peresild (Lioudmila Pavlitchenko), Evgeniy Tsyganov (Leonid), Joan Blackham (Eleanor Roosevelt), Anatoliy Kot (Nikolay), Oleg Vasilkov (Makarov), Nikita Tarasov (Chopak)…

Signes particuliers : Un blockbuster de guerre russe sur la Seconde Guerre Mondiale fort en spectacle et en patriotisme.

RUSSIAN SNIPER

LA CRITIQUE

Résumé : En 1941, Hitler décide de s’emparer du port stratégique de Sébastopol. L’aviation et l’artillerie allemandes vont pilonner sans relâche le dernier bastion de l’armée rouge. Sous ce déluge de feu, une jeune femme russe va se révéler être une tireuse d’élite hors pair et semer la panique dans le camp allemand. Les combats vont être meurtriers. Blessée par un éclat d’obus, elle va continuer à se battre sur le terrain diplomatique pour changer le cours de l’histoire.bitva-za-sevastopol-927930lL’INTRO :

Comme la science-fiction dans les années 50-60, le cinéma de guerre a toujours été un bon terrain de propagande du côté de Moscou, pour vanter l’héroïsme à la russe. La fierté d’avoir défié, combattu, puis vaincu la cruelle armée d’Hitler, reste encore aujourd’hui un symbole suprême d’un pays aimant étaler sa puissance dans l’histoire d’hier et d’aujourd’hui. Traditionnellement, mis à part quelques œuvres plus profondes (Requiem pour un Massacre par exemple), quand le cinéma russe aborde ses grandes et sombres heures du conflit le plus meurtrier du XXème siècle, c’est pour véhiculer cet esprit de résistance héroïque et rappeler sa place dans le conflit, sur fond de valeurs de courage « unique ». Résistance, troisième long-métrage du cinéaste Sergey Mokritskiy, vient s’inscrire dans la lignée de ces nombreuses superproductions locales aux ambitions gargantuesques bien que souffrant généralement d’un net manque de visibilité internationale. Le metteur en scène reconstitue le siège de Sébastopol à travers les yeux d’une légende russe, la tireur d’élite Lioudmila Pavlitchenko, héroïne de l’Union soviétique et véritable mythe national de la Seconde Guerre Mondiale, créditée de la mort de 309 ennemis tués au combat. Retirée du front en 1942 pour devenir une icône de la lutte et un visage du courage à la russe, Pavlitchenko fut envoyée aux Etats-Unis pour participer à une tournée de propagande aux côtés d’Eleanor Roosevelt, afin de mobiliser l’opinion publique à l’effort de guerre, devenant ainsi le premier citoyen soviétique invitée à la Maison Blanche.1056838810L’AVIS :

Rien que par son sujet, on voyait venir à des kilomètres le blockbuster propagandiste avec ce biopic dédié à une gloire nationale jouissant d’une aura impressionnante dans l’URSS de l’époque. Se prenant pour une sorte de Michael Bay de l’Est, le réalisateur Sergey Mokritskiy ne lésine pas sur le spectaculaire et les plans clichés incontournables, pour iconiser son sujet et livrer une illustration forte de l’esprit indestructible et courageux des soldats soviétiques face à l’invasion barbare. Sans la moindre once de subtilité et bien loin à tous les niveaux de son « homologue » yankee (comprenez par là, le American Sniper d’Eastwood), Résistance passe deux heures à mettre cette idée dominante en avant, plutôt que de s’efforcer d’apporter un peu de profondeur à son histoire jalonnée de séquences de guerre brutales et teintée d’un parfum de tragédie romanesque, alimentant une grosse machine au canevas et au déroulé ultra-stéréotypés. Plus embêtant, trop préoccupé par son exercice de glorification, Mokritskiy en oublie de conférer rugosité, sérieux et crédibilité à son entreprise, qui aurait bien mérité plus d’exigence, tant dans l’écriture que dans sa construction ou sa mise en scène. resistance6Malgré des ambitions évidentes et une certaine application formelle dévouée à un exercice hautement spectaculaire, Résistance souffre de cette non-maîtrise gangrénant toutes ses bases. Mokritskiy s’affiche comme un faiseur efficace plus que comme un bon cinéaste, mais le malheureux se retrouve surtout à mettre en scène un récit foutrement mal écrit, venant plomber le résultat de son travail. Peut-être le revers de la médaille de l’amoncellement de scénaristes (cinq au total) ayant officié sur le projet. Avec sa narration éclatée multipliant les allers et venues temporels, Résistance perd le spectateur par sa confusion, par ailleurs illustrée par un découpage frénétique et un montage erratique la rendant bien souvent indigeste voire incompréhensible. A ce défaut majeur et plombant, se rajoutent une image trop propre sur elle et manquant d’aspérités pour faire fonctionner immersion et authenticité (la faute à une photo bien moche), une bande originale mal pensée ou encore des effets formidablement ratés venant gâcher les scènes censées être les plus époustouflantes. La formidable prestation de la jeune et jolie comédienne Yuliya Peresild ne suffit pas et Résistance zone pas loin du ratage de luxe, certes regardable, mais pas franchement qualitatif.resistance_2

LES ÉDITIONS BLU-RAY / DVD

Techniquement somptueuse, l’image du Blu-ray de Résistance offre une netteté sidérante, trop peut-être, au point de souffrir à contrario, d’un manque de piqué et de grain pour aider à l’immersion dans son sujet. En complément des éditions DVD comme Blu-ray, les amateurs d’histoire pourront se replonger dans la sombres heures de la Deuxième Guerre Mondiale grâce à un documentaire de plus de deux heures riche en images d’archives (pas inédites en revanche). 

BANDE-ANNONCE :

Par Nicolas Rieux

43 thoughts on “RÉSISTANCE de Sergey Mokritskiy : la critique du film

  1. Bonsoir,

    Il est bien rare que je donne mon avis sur un fil_i je le fais ce soir, c’est parce que je trouve moi aussi cette critique bien trop sévère sur pas mall de points…

    Pour commencer, je ne vois absolument d’état, phénomène courant en URSS à l’époque pour les héros de l’Union Soviétique. A aucun moment je ne vois de parti pris glorifiant cette nation ou la guerre. J’ai juste l’impression de voir un biopic apparemment fidèle retraçant des éléments historiques aisément vérifiables.

    D’ailleurs à ce sujet je ne me permettrai pas de juger de l’aspect «réaliste» ou «crédible» du film, n’ayant pas moi même vécu ces événements. Ceci dit, je n’ai rien vu qui m’ai paru tellement irréaliste dans ce film.

    De même, peut être suis-je superieurement intelligent, mais jamais je ne me suis senti perdu par l’utilisation des flashbacks, ni par un «découpage frénétique» ou un «montage erratique» !

    Je n’ai pas non plus trouvé la «photo moche» bien au contraire. J’ai vu de belles images, quelques cadrages sympas, une bonne utilisation de la profondeur de champ et j’ai également été plutôt agréablement surpris par la qualité des effets spéciaux qui n’ont rien à envier aux productions hollywwoodiennes… je cherche encore où les effets peuvent gâcher les scènes les plus spectaculaires.

    La bande son ne pas marqué plus que ça, était-elle mal pensée ? Peut être mais sans doute pas assez pour que je le remarque en tout cas et c’est l’essentiel. Par contre, je note que le mixage était suffisamment bon pour que je puisse regarder ce film de nuit sans jongler avec le volume de la télécommande à chaque alternance dialogues/musique/action comme c’est devenu l’horripilante mode aujourd’hui.

    Bref pour moi ce film est plutôt une bonne surprise. Certes il a un côté blockbuster à l’occidentale et peut-être est-ce ce qui vous dérange, mais je trouve qu’il le fait plutôt bien et avec une qualité générale plutôt agréablement surprenante. Je ne suis pas certain que ce film ait jamaiss eu plus d’ambition que cela. Alors c’est vrai, il ne restera pas dans les annales des chefs d’oeuvre (american sniper non plus cela dit) mais j’ai quand même passé un agréable moment à découvrir une histoire que je ne connaissais pas et qui m’a donné envie de chercher plus loin.

    Je me rends bien compte que je suis en opposition sur la quasi totalité de votre critique mais ce n’est que mon avis et je voulais essayer de rendre un peu justice à ce film qui ne mérite pas à mes yeux qu’on nous décourage autant de le regarder. Heureusement que je ne l’ai pas lue avant de le voir.

    J’espère avoir suffisamment argumenté les raisons pour lesquelles ce 2/5 me semble excessif.

    Bien à vous.

    1. Je me rends compte que le copier coller a avalé un partie de mon texte

      «il est bien rare que je donne mon avis sur un film, si je le fais ce soir…»

      «pour commencer, je ne vois absolument pas lee côté propagandiste de ce film, je vois juste un biopic dont une partie raconte comment l’histoire de cette femme a pu servir la propagande d’etat» etc

      Désolé, pas évident depuis un téléphone prêté par un SAV le temps des réparations du mien.

    2. Pour un avis bref, j’ai bien aimé le film, mais j’aimerai avoir une précision sur la bande son. Il me semble avoir reconnu des musiques du film Hunger games ? Je me trompe peut être, mais j’aimerai en avoir la certitude, quelqu’un aurait il le nom de celui/celle ayant produit la bande son ?

  2. Pour ma part, ce film me change un peu de tous les films dont les yankees nous balance. Je l’ai vu en russe et en FR et je n’ai pas été déçu.

  3. Je viens tres peu sur ce site mais quand j’ai vu la critique wala je susi devenu ouf dans ma teuter. j’viens de panam dans la banlieue et j’ai jamais autant vu autant de conneries que dans cette critique. Starfulla je te retrouve je te met des patates !

  4. Bonjour, je vous trouve tres severe sur le film et je ne l ai pas vu comme un film propagandiste. Il s agit d un film de guerre dont l histoire n est pas tres complexe, mais se laisse aller jusqu au bout par son rythme et l envie de savoir comment cela s enchaine. Chacun voit le film comme il veut mais moi je le vois comme un film plutot pacifiste ou la guerre est une histoire oû les hommes sont aveuglés par leur histoire personnelle et manipulés par le systeme. Les mecanismes psychologiques expliquant les pernnages sont simplistes (le pere referent, l amour qui aveugle ou pousse les individus, la vengeance, le conditionnement societal et l alienation ou les individus sont des pions contre leur volonte) que ce soit du cote russe ou americain. Mais bon ce film montre au dela de l horreur de la guerre, ce film m a interesse car la morale n a finalement pas beaucoup de place et les individus sont comme ils sont. Elle a un don, elle s en sert pour exister, elle prend plaisir à tuer comme dans un jeu, elle accepte de s attacher aux hommes qui viennent, souffre de les perdre puis se reattache a ceux qui sont gentils avec elle, change son uniforme pour une robe puis remet son uniforme par ce qu il le faut, tue un ennemi qui devient un homme et finit par souffrir de la guerre tout en continuant à former des snipers. Je n ai pas vu un hero, mais un etre incoherent, perdu dans un flot qu elle subit tout en continuant parce qu il le faut. Je n ai pas vu de propagande russe. La russie est plus vue comme une machine obligeant les humains. Est qu elle a le choix demande t elle? On lui deconseille de refuser. Pas vraiment un hero libre d esprit. Donc je ne suis pas d accord avec vous

    1. C’est une vision argumentée avec une analyse intéressante. En effet, le film semble bénéficier d’une belle côté de popularité au final. Et quelque part, tant mieux. Nous concernant, c’est plus dans la façon dont le personnage est un peu « glorifiée » qui nous a dérangé (elle reste quand même très valorisée comme une icône nationale, ce qu’elle était cela dit). Mais il faut dire que le cinéma russe de divertissement est un peu coutumier du fait dans son histoire récente et lointaine.

  5. Oui, je parlai juste de mon impression au niveau de la propagande (je suis pas un pro pour les critique de film, donc je vais peut-être dire de la merde). Après je ne peut que être d’accord sur le fait qu’au niveau de la psychologie du personnage « American sniper » va largement plus profond, plus loin que « Resistance ».
    Mais voila, après c’est mon ressenti qui pour moi me fait dire que « American sniper » est plus propagandiste. C’est peut-être du au fait que j’aime pas vraiment les Etat-unis aussi, même si je peut pas dire que je sois fan de la Russie non plus (je me rend compte que j’aime personne en fait), mais voila sa as peut-être jouer aussi ^^.

  6. Personnellement, sur votre comparaison entre « American sniper » et « Résistance », j’ai vu les deux film et j’ai trouver que « American sniper » était largement plus propagandiste. Dans « American sniper » j’avais vraiment l’impression du début à la fin de voir un film de propagande pas un seul passage du film ma enlever cette idée. Alors que dans « Résistance » bien sur il y avait des moment ou la propagande se sentais mais j’avais pas cette sensation pendant tout le film.

    Après chacun sont avis bien sur ^^.

    1. Bonjour Samy,

      Je vois ce que tu veux dire mais je n’ai effectivement pas la même vision de American Sniper. Pour moi, le film n’est pas si propagandiste qu’on ne veut bien le croire. Au final, d’un bout à l’autre, je ne trouve pas Eastwood glorifie son personnage, au contraire. Quand on lit entre les lignes, il en fait un portrait quand même assez cruel, souvent noir et pas si flatteur que ça. Il ne faut pas oublier que ce qu’il montre de lui, c’est pas la vision d’eastwood sur la guerre mais la vision de son personnage. Il se place dans sa tête à lui, avec sa logique. Et comme le personnage est très patriotique, le film donne l’impression de l’être. Mais c’est faux en réalité. Eastwood ne fait qu’illustrer ce que pense son personnage et par moments, il le montre en critiquant discrètement certaines choses. A la limite, la toute fin peut prêter à confusion mais c’est le résultat d’une situation particulière à savoir un homme qui est mort alors que le film était en train de se faire. Cette toute fin n’aurait pas eu lieu si le personnage n’avait pas été tué dans la vraie vie pendant la production du film.

  7. Ouais djo, t’as raison « bro » ! AMERICAAAA ! FUCK YEAH !
    Plus sérieusement, connaissant le critique derrière ses mots, je peux te dire qu’il est tout sauf pro-US…
    En revanche, ne lui fais pas la leçon… quand toi, tu n’es pas foutu capable de donner ton point de vue sans l’insulter (certainement pour tenter vainement de crédibiliser tes dires).
    Allez, va péter un coup et reviens quand tu maîtrisera un tant soi peu ton sujet.
    ‘MERICA ! FUCK YEAH !
    https://www.youtube.com/watch?v=7R5A0pg4oN8

    1. S’il te plait l’ami me prend par pour un idiot, chaque phrase de la critique descend le film et l’insulte pratiquement, le tout écrit très bien pour essayer de faire croire qu’il le pense vraiment. J’ai regardé le film, je l’ai trouvé émouvant et assez bien réalisé alors sa m’a énervé tant de mauvaises foi, c’est pratiquement un manque de respect pour l’humain lui même vu le sujet du film. Un vrai connard je le re dit.

      1.  » le malheureux se retrouve surtout à mettre en scène un récit foutrement mal écrit  » il à l’air de savoir de quoi il parle lui Nicolas, sa à l’air hyper constructif rien qu’a voir sa.

      2. Donc si on résume, on doit tout accepter d’un film, y compris sa médiocrité, du moment que le sujet est sérieux et émouvant ? Désolé, nous n’avons pas la même conception du « cinéma ».

        1. Vous avez résumé une seule de mes phrases et c’était un point de vue tout a fait personnel. Et d’un point de vue général je pense qu’aucun film qui existe n’est médiocre comme vous dites. Vous n’avez noté aucun point positif dans votre critique ou alors vous dites juste après que finalement quelque chose d’autre viens l’annuler. Sa sent la mauvaise foi à des kilometres.

          1. Pourriez-vous faire un effort pour vous exprimer de façon juste compréhensible afin qu’on puisse vous répondre ?

            Cette phrase ne veut rien dire et on en cherche encore le sens : « Vous n’avez noté aucun point positif dans votre critique ou alors vous dites juste après que finalement quelque chose d’autre viens l’annuler. Sa sent la mauvaise foi à des kilometres. »

            1. S’il faut écrire comme Shakespeare pour se faire comprendre ici… Pour faire simple j’ai voulue dire que tu étais forcement de mauvaise foi vu l’acharnement à rabaisser le film dans ta critique.

              1. Alors celle là, elle est tellement belle qu’il faudrait l’imprimer et l’encadrer. Donc, émettre l’avis qu’un film est mauvais, c’est forcément de la mauvaise foi ? Excuse-moi, je termine mon fou rire et je reviens plus tard.

  8. Désolé Djo, j’essaierai de faire au mieux à l’avenir mais c’est vrai qu’à force de « sucer la queue des amerlocs », j’ai la bouche qui récite toute seule l’hymne américain maintenant. Mais il paraît que ça se soigne.

      1. Personnellement, votre réponse totalement vide de sens me prouve bien que ma penser était exact, j’espère que vous regrettez tant de mensonges.

        1. Mais regretter quoi Djo ? Est-ce que vous vous rendez seulement compte une seconde du vide absolu de tous vos commentaires ? Vous vous insurgez et vous vous agitez dans tous les sens mais… Vous n’avez pas défendu une seule idée concernant le film depuis le début. On attend toujours de votre part des « arguments ». Vous semblez avoir envie de défendre ce film. Soit. Mais donnez-en des arguments. D’autant que vu ce que vous nous sortez depuis le début, on commence à sérieusement douter de votre connaissance du cinéma russe. Connaissez-vous par exemple « Requiem pour un Massacre » d’Elem Klimov, qui traite lui-aussi de la guerre mais avec une toute autre ambition ?

          1. C’est vrai je ne connais pas le cinéma russe, c’est peut être l’un des seuls que j’ai vue et non je ne connais pas ce film que vous citez, mais je vois pas le rapport. Pour les arguments j’ai seulement dit que j’avais trouvé le film émouvant mais je peux aussi dire que les scènes de guerre sont très bien réalisés, réalistes, comme si on y était. Et à aucun moment je n’ai senti de glorification de l’URSS ou de propagande dans le film, de mon point de vue en tout cas, au contraire j’ai trouvé qu’il était assez sincère et équilibré. J’ai lue toute votre critique et j’avoue que j’ai encore du mal à y croire. Enfin mes commentaires sont surtout un coup de gueule, j’était énervé contre vous. Pour les insultes elle étaient surement pas nécessaire je m’en excuse mais je ne suis pas faux.

            1. Bah justement, à l’occasion, regardez ce film et vous verrez ce que c’est qu’un bon film qui parle des heures les plus sombres de la Russie pendant la guerre, qui ne fait pas dans la glorification ridicule et qui est vraiment RÉALISTE, lui. Désolé si vous avez aimé « Résistance », pour nous, c’est un navet qui n’a pas vraiment de qualités pour lui. C’est ni plus ni loin qu’un blockbuster d’une pauvreté sans nom, qui n’est pas bien réalisé et encore moins bien écrit, et qui s’empêtre dans des facilités, dans un côté romantique malvenu etc… Ca n’a rien à voir avec du racisme anti-russe, c’est juste que c’est un divertissement de piètre qualité et on va pas allé lui en trouver alors qu’il n’en a quasiment aucune. Et certainement pas un côté « réaliste ». Si c’est ça le réalisme au cinéma… au secours.

              1. « pour nous, c’est un navet » Donc vous étiez plusieurs à donner votre avis, je peux te dire avec certitude que tu es entouré de quelques racistes. Je te signale que tu balance aussi des jugements sans arguments constamment. Je commence sincèrement à penser que tu n’a pas vraiment regardé le film. Et franchement qui es tu pour dire qu’est ce qu’est le réalisme au cinéma. Si tu pouvais aussi me citer une seule scène de glorification pour que peut être je me rende compte ? Par ce que j’ais due mal a trouver franchement.

                1. Trouver le film mauvais et idiot = racisme. devant la pauvreté de cet argument et l’étroitesse d’esprit dont tu fais preuve, je crois qu’il est grand temps de nous quitter. Si tu n’as aucun recul ni esprit critique, tant pis pour toi. Et si pour toi le film est « réaliste », bah que veux-tu que je te dise mon pauvre. Tu sais (juste au cas où) que tout ce qu’on montre au cinéma n’est pas forcément la réalité ? Godzilla n’a jamais attaqué le Japon hein.

  9. Pour conclure Mr Nicolas Rieux vous êtes clairement engagé politiquement et n’avais rien a faire dans le métier de critique, merci au revoir.

        1. C’est vrai que laisser un commentaire + penser et écrire des énormités + faire attention à l’orthographe, c’est beaucoup pour vous. Et sinon, vous avez des occupations dans la vie à part l’insulte et être un troll ?
          Il serait de bon ton de regarder ce que c’est que d’avoir son propre avis sur une œuvre et respecter les avis différents (ce qui n’est pas votre cas). Je vous invite aussi à regarder la définition d’amalgame.
          Je compte sur vous pour ne pas nous décevoir (tous les lecteurs de Mondociné), nous attendons vos conneries et insultes avec impatience, c’est toujours gratifiant pour nos égos de constater la bassesse d’esprit.
          J’ai une dernière question : vous êtes pareil dans la vraie vie ou vous faites juste votre kéké derrière un écran (parce que c’est quand même plus facile, avouons-le) ?

            1. C’est compliqué de répondre à sa, surtout que je m’attendais seulement à des réponses de la part de l’auteur ou de personne qui soutienne son point de vue mais pas qui critique mon ortographe ou juste le fait que j’insulte. C’est sa que je trouve triste.
              PS: beau poême

              1. Vous ne l’auriez pas insulté et vous auriez dès le début écrit vos arguments, nous n’en serions pas là. Le manque de respect est inacceptable (devant son ordi ou dans la vraie vie). C’est tout.

                1. Et j’ajoute que je trouve triste que vous en soyez réduit à tant de bassesses. Non, en fait, c’est moche, pas triste. À croire qu’il est difficile d’apporter un jugement sans virer dans l’insulte. Au moins, vous avez perdu toute crédibilité dès le début.

                2. Chacun son avis, moi je pense que les insultes font parties du language et ne font pas perdre en crédibilité sauf si l’on pense comme vous et que l’on est programmé, qu’on répête stupidement. Des moutons quoi. Vous ressemblez à un mouton. Un mouton automatique. Haha je m’égare.

                  1. « les insultes font parties du language et ne font pas perdre en crédibilité » : Tout est dit là. Je citerai Audiard pour te répondre : « Si la connerie n’est pas remboursée par la sécurité sociale, vous finirez sur la paille ! »

  10. En fait sa doit vraiment vous faire chier de voir qu’un film reparle du fait que la Russie a joué un rôle décisif dans la victoire de la guerre alors que les états unies essaye de lancer une nouvelle guerre et de faire passer les russes pour les méchants.

  11. Mais c’est vrai que pour les films américains de guerre vous dites la même chose, c’est de la propagande ect… ha non pardon vous le fait pas car vous êtes un sale connard de fauxcul.

  12. Mr Nicolas Rieux si vous ne pouvez pas donner une critique avec une pensée politique neutre et non une pensée raciste anti-russe alors fermez votre gueule s’il vous plait et aller continuer de sucer la queue des amerlocs.

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