Nom : Ghostbusters : Frozen Empire
Père : Gil Kenan
Date de naissance : 10 avril 2024
Type : sortie en salles
Nationalité : USA
Taille : 1h56 / Poids : NC
Genre : Fantastique, Action, Comédie
Livret de Famille : Paul Rudd, Carrie Coon, Finn Wolfhard, Kumail Nanjiani, Mckenna Grace, Bill Murray, Annie Potts, Dan Aykroyd, Ernie Hudson..
Signes particuliers : La faiblesse de la nouveauté, les fantômes de la nostalgie.
Synopsis : La famille Spengler revient là où tout a commencé, l’emblématique caserne de pompiers de New York. Ils vont alors devoir faire équipe avec les membres originels de S.O.S. Fantômes, qui ont mis en place un laboratoire de recherche top secret pour faire passer la chasse aux fantômes à la vitesse supérieure. Lorsque la découverte d’un ancien artefact libère une armée de fantômes qui répand une menace de glace sur la ville, les deux équipes S.O.S. Fantômes doivent unir leurs forces pour protéger leur maison et sauver le monde d’une seconde ère glaciaire.
PLAT MAL RÉCHAUFFÉ
NOTRE AVIS SUR S.O.S FANTOMES : LA MENACE DE GLACE
Et vas-y que je te repousse à l’écran Paul Rudd pour la star, « machin » de Stranger Things, truc de Star Wars ou Walking Dead et un peu de Grace Mckenna pour la jeunesse à la mode, et puis surtout Dan Aykroyd, Bill Murray, Ernie Hudson et même Annie Potts pour la nostalgie-vintage-fan service. Un coup de pied pour que ça rentre et hop on ferme la porte, emballé c’est pesé. Et tout ce beau monde va s’enjailler dans une nouvelle aventure aussi passionnante que la dernière coloscopie du Roi Charles à base de menace glacée et de dangers venus des anciens films. Au final, c’est même pas que La Menace de Glace est pas bon… il est juste inintéressant. Divertissement familial inerte qui mélange aventure fantastique, humour et pointes d’émotion avec une manufacture très mécanique, ce nouvel opus n’est pas très sexy, il déroule juste un programme comme un démarcheur téléphonique déroule son script de vente, sans âme, sans conviction, sans talent, en comptant quasi exclusivement sur sa nostalgie régressive et son actualisation narrative tournée vers l’écologie. Mais que c’est plat, que c’est sans surprise façon plat Picard réchauffé. Bref, un coup d’épée dans l’eau.
Par Nicolas Rieux