Mondo-mètre :
Carte d’identité :
Nom : The Surrogates
Père : Jonathan Mostow
Livret de famille : Bruce Willis (Greer), Radha Mitchell (Peters), Rosamund Pike (Maggie Greer), Boris Kodjo (Stone), James Cromwell (Dr. Canter), Ving Rhames (le prophète), Michael Cudlitz (Brendon)…
Date de naissance : 2009 / Nationalité : États-Unis
Taille/Poids : 1h25 – 80 millions $
Signes particuliers (+) : Un très bon thriller de SF basé sur un sujet à la Asimov et développant un univers futuriste passionnant. Haletant et avec un Willis encore une fois étonnant.
Signes particuliers (-) : Un énorme manque d’ampleur narrative. Beaucoup trop court, trop concis et direct, le film ne prend le temps de rien et survole à vitesse grand V son sujet. Frustrant.
LA GUERRE DES CLONES
Résumé : Dans un monde futuriste, les humains ne sortent plus de chez eux. Ils vivent à travers des versions robotisées d’eux-mêmes qu’ils contrôlent à distance. Deux agents du FBI enquêtent sur un meurtre dont la victime semble être liée au créateur de cette nouvelle technologique qui a changé le monde…
En dépit des nombreuses critiques qui ont plu sur le film de Jonathan Mostow à l’époque, Surrogates est pourtant un honnête film de SF dont l’accueil reçu étonne par son manque de discernement et de relativisation, mis en scène par un cinéaste chevronné dans le domaine de l’action efficace old school.
Adapté d’une bande dessinée, « clones » propose un univers riche qu’il parvient à mettre en place assez rapidement et de façon surtout claire et concise. Mené tambour battant, le film de Mostow allie enquête policière et action efficace, le tout dans un vrai film de science-fiction à l’esthétique léchée où Bruce Willis propose un étonnant numéro d’acteur parvenant à merveille à jouer avec son corps et ses mimiques pour marquer la nuance clone/être humain.
Clones aurait pu presque prétendre à s’inscrire dans la grande tradition des classiques de la SF cinématographique en modeste relecture d’un Blade Runner. Mais pour cela, le film aurait du pallier à un défaut de taille qui l’handicape considérablement, lui faisant perdre une grande partie de sa substance : son cruel manque d’ambition. Budgété à 80 millions de dollars, Clones n’a pas les moyens de ses ambitions et Mostow tente de faire au mieux. Malheureusement, contrairement à justement un Blade Runner, Clones survole son sujet, ne parvient pas à l’exploiter au mieux, à rendre toute la richesse du potentiel évident du matériau. Le film aurait pu être passionnant s’il avait été une œuvre visant plus haut prenant le temps d’exploiter et d’exposer un univers original, s’il avait pu se fendre de plus de noirceur dans la retranscription d’un monde déshumanisé ou les contacts humains sont abolis ou l’essence même de la vie en société a disparu. Clones recelait en son sein un énorme potentiel pour être une fable philosophique forte mais n’a pas le temps, en l’espace de sa très courte durée d’environ 1h30 et se borne ainsi à être un simple bon blockbuster de catégorie 2. Un potentiel sabordé qui laisse un amer sentiment de frustration par cette non volonté de développer une oeuvre riche et ambitieuse.
Bande-annonce :
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