La Mondo-Note :
Carte d’identité :
Nom : Sol
Père : Jezabel Marques
Date de naissance : 2019
Majorité : 08 janvier 2020
Type : Sortie en salles
Nationalité : France
Taille : 1h38 / Poids : NC
Genre : Comédie dramatique
Livret de famille : Chantal Lauby, Camille Chamoux, Giovanni Pucci…
Signes particuliers : Anecdotique mais pas détestable.
CHANTAL LAUBY EN MODE ÉMOUVANTE
NOTRE AVIS SUR SOL
Synopsis : Sol, célèbre interprète de Tango argentin, vit à Buenos-Aires depuis de nombreuses années. Derrière son tempérament excessif et son sourire incandescent, la Diva cache une blessure dont elle ne s’est jamais réellement remise : la perte de son fils unique, Raphaël, avec qui elle avait rompu tout lien. Sol revient à Paris dans l’espoir de rencontrer enfin Jo, son petit-fils de 7 ans, né de l’union de Raphaël et d’Eva, sa belle-fille, qu’elle ne connaît pas. Mais devant eux, Sol prend peur et prétend être là pour louer le studio situé sur leur palier. Dès lors, elle va tout faire pour apprivoiser ses nouveaux voisins…
Épouse à la ville d’Olivier Nakache (du duo Nakache/Toledano), Jézabel Marques suit les pas de son mari en réalisant son premier long-métrage. Emmené par Chantal Lauby et Camille Chamoux, Sol est une comédie dramatique sur une diva du tango argentin qui revient à Paris après des années d’absence avec l’espoir de faire la connaissance de son petit-fils qu’elle n’a jamais rencontré. Mais alors que son fils est décédé dans un accident de voiture, elle va devoir trouver un moyen d’apprivoiser sa belle-fille… qui ne la connaît pas non plus.
Le créneau du film de Jézabel Marques est très simple (et finalement proche de ce que fait son mari), il s’inscrit dans une oscillation sinusoïdale entre rires et émotion. Tour à tour drôle ou touchant, le film offre surtout une belle partition à jouer à une Chantal Lauby plutôt émouvante dans un rôle souvent mélancolique. Respectant une recette qui a fait ses preuves, Sol se révèle assez « efficace » dans ce qu’il entreprend sans jamais vraiment déborder dans la marge de son cahier des charges. Prévisible et manufacturé, on n’est clairement pas face à un grand film mais le résultat n’est pas vraiment désagréable. Juste anecdotique.
BANDE-ANNONCE :
Par Wilfried Rennahan